lundi 21 février 2011

MAGISTRATS : CHASSEZ LE NATUREL, IL REVIENT AU GALOP

Alors que le SGP Unité Police soutient la fronde des magistrats, vous savez ceux qui nous aiment bien, le SM, et qu'à l'inverse il rompt l'union syndicale contre la fermeture des commissariats

ALLIANCE Police Nationale continue, seul, à défendre avant tout et contre tout les intérêts des policiers

LU POUR VOUS

Trafiquants libérés : les juges "ne peuvent plus se cacher", selon Alliance

PARIS, 21 fév 2011 (AFP) - Alliance, deuxième syndicat des gardiens de la paix, a estimé lundi que les "juges ne peuvent plus se cacher derrière le paravent de leur indépendance" après la remise en liberté de trois trafiquants de drogue présumés à Draguignan (Var).

Trois trafiquants de drogue présumés interpellés la semaine dernière en possession de 1,3 kilos de cocaïne dans leur véhicule au péage du Capitou, sur l'A8, à Fréjus, n'ont pu être jugés en comparution immédiate à Draguignan jeudi, pour cause d'audience tardive.

Ils ont été remis en liberté sur décision d'un juge des libertés et de la détention et convoqués à une date ultérieure, contrairement aux réquisitions du parquet.

Alliance "estime que certains magistrats ne peuvent plus se cacher derrière le paravent de leur indépendance et doivent, eux-aussi, répondre des conséquences de leurs décisions", estime le syndicat.

Le syndicat de police Synergie, second syndicat d'officiers, avait regretté dimanche un "dysfonctionnement de la justice", provoquant "la colère et l'incompréhension des policiers".

Alliance affirme également "que la multiplication des décisions contestables de certains magistrats est en totale contradiction avec le besoin de sécurité de nos concitoyens".

dimanche 6 février 2011

POLICIER ROUE DE COUPS : DEUX JEUNES EN DETENTION

BESANCON, 6 fév 2011 (AFP) - Deux jeunes majeurs de 19 et 20 ans, soupçonnés d'avoir roué de coups vendredi un brigadier de police de 35 ans, ont été placés en détention provisoire dimanche à Besançon, et ils seront jugés en comparution immédiate lundi, a-t-on appris auprès du parquet de la ville.

Les deux jeunes Bisontins comparaîtront devant le tribunal correctionnel pour "violences contre un agent détenteur de l'autorité publique en réunion", selon cette source.

Ils réfutent avoir participé aux violences, a-t-elle ajouté.

Le casier judiciaire du plus âgé comporte huit condamnations pour violences, dont une en 2007 pour violences sur une personne chargée de mission de service public et une en 2010 pour violences en réunion. Il comparaîtra donc en récidive. Son comparse présumé est aussi connu de la justice.

Le fonctionnaire, qui est sorti de l'hôpital, s'est vu notifier 3 jours d'ITT (incapacité totale de travail).

L'agression a eu lieu vendredi dans le quartier dit des "408", où le conducteur d'un scooter avait abandonné son deux-roues après avoir refusé de se soumettre à un contrôle routier. Alors que deux policiers rejoignaient le scooter, l'un d'eux a été frappé au visage et sur le corps par plusieurs hommes.

Dans la foulée, dix jeunes ont été interpellés par une trentaine de policiers, dont des CRS, avant d'être placés en garde à vue. Huit ont été remis en liberté samedi.

Vendredi, Laurent Gresset, secrétaire régional du syndicat Alliance police nationale, avait "déplor(é) qu'une fois de plus un policier, en tentant de faire son métier, soit victime de voyous qui pensent que leur cité est soumise à leur loi".

"Cette affaire, et l'interpellation rapide d'auteurs présumés avec l'aide des CRS en mission de sécurisation, démontre que lorsque la police dispose des effectifs et des moyens adaptés, elle sait réagir avec efficacité, prouvant par là même la nécessité des forces mobiles", avait déclaré le syndicaliste, dans une allusion au conflit consécutif à la décision –finalement abandonnée-- du ministère de l'Intérieur de supprimer deux compagnies de CRS.

vendredi 4 février 2011

SOUTIEN AUX POLICIERS DE NANTES

ALLIANCE Police Nationale apporte son soutien, sans polémique, aux Policiers de NANTES !

Jean Claude DELAGE, Secrétaire Général, et le Bureau Nationale d’ALLIANCE Police Nationale apporte son total et entier soutien aux fonctionnaires de Police visés dans l’enquête sur l’affaire du décès de la jeune Laetitia.

A ce jour, au regard des éléments portés à notre connaissance, notamment les sur les premières constatations de l’IGPN, il apparaît qu’aucun dysfonctionnement n’a été relevé de nature à engager la responsabilité de nos collègues, gradés et gardiens de la paix, et de justifier une sanction à leur encontre.

ALLIANCE Police Nationale attend donc sereinement les conclusions de l’enquête de l’IGPN sur ce sujet et rejette toute idée de faute imputable aux Policiers.

Nous ne souhaitons pas entamer une polémique purement politicienne, stérile,mais nous n’acceptons pas que les Gradés et Gardiens de la Paix assument des responsabilités sur des faits qu’ils n’ont pas commis.

Nous espérons que nos collègues, après être mis hors de cause, auront une juste reconnaissance de leur travail accompli quotidiennement.

BESANCON : Un policier roué de coups, 8 jeunes en GAV

BESANCON (FRA), 4 fév 2011 (AFP) - Huit jeunes d'un quartier sensible de Besançon ont été placés en garde à vue vendredi pour leur participation présumée à l'agression d'un policier de 34 ans, qui a été hospitalisé après avoir été roué de coups, a-t-on appris de source policière.

L'agression a eu lieu dans le quartier des "408", où le conducteur d'un scooter avait abandonné son deux-roues après avoir refusé de se soumettre à un contrôle routier. Au moment où deux policiers ont rejoint le scooter, l'un d'eux a été frappé au visage et sur le corps par le groupe de jeunes.

Les agresseurs présumés ont pris la fuite et se sont réfugiés dans un local associatif du quartier, où ils ont été interpellés par une trentaine de policiers, dont des CRS, avant d'être placés en garde à vue.

Laurent Gresset, secrétaire régional Alliance police nationale, a "déploré qu'une fois de plus un policier, en tentant de faire son métier, soit victime de voyous qui pensent que leur cité est soumise à leur loi".

"Cette affaire, et l'interpellation rapide d'auteurs présumés avec l'aide des CRS en mission de sécurisation, démontre que lorsque la police dispose des effectifs et des moyens adaptés, elle sait réagir avec efficacité, prouvant par là même la nécessité des forces mobiles", a déclaré le syndicaliste.

Les policiers "s'inquiètent de la diminution dangereuse des effectifs et des moyens mis à leur disposition pour faire appliquer la loi républicaine dans les quartiers de France", a-t-il ajouté, en appelant "le gouvernement et les parlementaires à prendre des mesures redonnant confiance à toute la profession".

FERMETURE DES COMMISSARIATS : APPEL A LA MOBILISATION GENERALE

Un syndicat pour la "mobilisation générale" contre la fermeture de commissariats

PARIS, 4 fév 2011 (AFP) - Un syndicat de police a appelé vendredi à la "mobilisation générale" contre les "projets de fermetures de commissariats de police", mettant en exergue la "victoire pour les CRS" avec le maintien des compagnies de Lyon et Marseille obtenu en début de semaine.

Jean-Claude Delage, secrétaire général d'Alliance (second syndicat de gardiens de la paix) a expliqué vendredi à l'AFP que le syndicat n'exlut pas des "manifestations et pétitions" ainsi que d'appeler les policiers à un "service minimum" s'il n'obtient pas satisfaction.

Le syndicat estime que "l'Etat se désengage des villes de plus de 20.000 habitants" en y envisageant des fermetures de commissariats de police.

Mardi, il avait déjà appelé à "l'unité syndicale" sur ce sujet, déclarant que l'union de "l'intersyndicale avait "payé pour nos collègues des compagnies républicaines de sécurité (CRS)".

"Depuis plusieurs mois", il assure "avoir engagé une forte mobilisation dans les commissariats d'Annonay, Montbrison, Graulhet, Fourmies, Pertuis et Libourne pour lesquels un projet de fermeture est prévu et ceux dont on ignore les "pistes" de fermeture".

Il "affirme que la mobilisation des CRS est un avertissement important qui a été lancé et qui doit être pris en compte également pour le mouvement de colère qui devient de plus en plus important chez les policiers de sécurité publique".

Visée par un projet de restructuration police-gendarmerie, Libourne (Gironde) pourrait devenir en septembre la seule ville de plus de 20.000 habitants à ne plus avoir de commissariat, une perspective qui suscite l'ire des policiers, vent debout contre un projet qu'ils jugent "incompréhensible".

Le projet a été confirmé jeudi par le préfet de Région Dominique Schmitt lors d'une réunion avec les syndicats de police qui ont créé une intersyndicale dans cette localité.

samedi 11 décembre 2010

SEPT POLICIERS CONDAMNES : MOUVEMENT DE COLERE

Le syndicat policier Alliance "écoeuré" par le jugement de Bobigny ,10 déc 2010 (AFP) -

Alliance (second syndicat de gardiens de la paix) s'est déclaré vendredi "écoeuré" par la condamnation, de 6 mois à 1 an de prison ferme, de sept policiers jugés à Bobigny pour avoir accusé à tort un homme.

Dans une déclaration à l'AFP, Jean-Claude Delage, secrétaire général du syndicat, s'est déclaré "en colère, atterré et écoeuré" par ce jugement, affirmant relayer la "colère de la base".

"Les policiers ont reconnu la faute commise et nous ne comprenons pas", a ajouté M. Delage.

"Si on veut décourager les policiers, on a visé juste", a-t-il assuré, ajoutant que "les policiers ne comprennent pas" alors que, selon lui, "des multirécidivistes, dans ce tribunal et ailleurs, ne sont pas, eux, condamnés comme il se doit ou remis en liberté".

"Les droits de (leur) défense ont-ils été respectés?", s'est encore interrogé M. Delage, estimant que les policiers condamnés "n'ont apparemment pas eu la parole en dernier (lors de l'audience) contrairement aux usages".

A Aulnay-sous-Bois le 9 septembre, un policier était blessé à la jambe, percuté par une voiture après une course-poursuite. Lui et ses collègues ont alors menti et accusé dans leur procès-verbal le conducteur de la voiture qu'ils poursuivaient. 

MANIFESTATION EN COURS

Plusieurs dizaines de policiers de Seine-Saint-Denis manifestaient vendredi devant le tribunal de Bobigny après la condamnation à de la prison ferme de sept de leurs collègues, a constaté une journaliste de l'AFP.

Des dizaines de policiers en civil et en uniforme étaient rassemblés au pied du palais de justice de Bobigny et ont fait retentir les sirènes d'une quinzaine de voitures de police.

"On a appelé les collègues du département à venir devant le tribunal.L'objectif est de montrer au président du tribunal qu'on n'est pas d'accord", a déclaré Sébastien Bailly, secrétaire départemental adjoint du syndicat Alliance.

"On est scandalisé par le jugement. Pour nous c'est une atteinte au métier de policier", a fustigé M. Bailly.

Sept policiers ont été condamnés vendredi à des peines de 6 mois à 1 an de prison ferme, ce qui sera inscrit au casier judiciaire pour cinq d'entre eux et entraînera une radiation de la police.

A Aulnay-sous-Bois le 9 septembre, un policier était blessé à la jambe, percuté par une voiture après une course-poursuite. Lui et ses collègues ont alors menti et accusé dans leur procès-verbal le conducteur de la voiture qu'ils poursuivaient.

vendredi 10 décembre 2010

CONDAMATION DE POLICIERS A BOBIGNY : ALLIANCE ECOEURE

Le syndicat policier Alliance "écoeuré" par le jugement de Bobigny ,10 déc 2010 (AFP) -

Alliance (second syndicat de gardiens de la paix) s'est déclaré vendredi "écoeuré" par la condamnation, de 6 mois à 1 an de prison ferme, de sept policiers jugés à Bobigny pour avoir accusé à tort un homme.

Dans une déclaration à l'AFP, Jean-Claude Delage, secrétaire général du syndicat, s'est déclaré "en colère, atterré et écoeuré" par ce jugement, affirmant relayer la "colère de la base".

"Les policiers ont reconnu la faute commise et nous ne comprenons pas", a ajouté M. Delage.

"Si on veut décourager les policiers, on a visé juste", a-t-il assuré, ajoutant que "les policiers ne comprennent pas" alors que, selon lui, "des multirécidivistes, dans ce tribunal et ailleurs, ne sont pas, eux, condamnés comme il se doit ou remis en liberté".

"Les droits de (leur) défense ont-ils été respectés?", s'est encore interrogé M. Delage, estimant que les policiers condamnés "n'ont apparemment pas eu la parole en dernier (lors de l'audience) contrairement aux usages".

A Aulnay-sous-Bois le 9 septembre, un policier était blessé à la jambe, percuté par une voiture après une course-poursuite. Lui et ses collègues ont alors menti et accusé dans leur procès-verbal le conducteur de la voiture qu'ils poursuivaient. 

MANIFESTATION EN COURS

Plusieurs dizaines de policiers de Seine-Saint-Denis manifestaient vendredi devant le tribunal de Bobigny après la condamnation à de la prison ferme de sept de leurs collègues, a constaté une journaliste de l'AFP.

Des dizaines de policiers en civil et en uniforme étaient rassemblés au pied du palais de justice de Bobigny et ont fait retentir les sirènes d'une quinzaine de voitures de police.

"On a appelé les collègues du département à venir devant le tribunal.L'objectif est de montrer au président du tribunal qu'on n'est pas d'accord", a déclaré Sébastien Bailly, secrétaire départemental adjoint du syndicat Alliance.

"On est scandalisé par le jugement. Pour nous c'est une atteinte au métier de policier", a fustigé M. Bailly.

Sept policiers ont été condamnés vendredi à des peines de 6 mois à 1 an de prison ferme, ce qui sera inscrit au casier judiciaire pour cinq d'entre eux et entraînera une radiation de la police.

A Aulnay-sous-Bois le 9 septembre, un policier était blessé à la jambe, percuté par une voiture après une course-poursuite. Lui et ses collègues ont alors menti et accusé dans leur procès-verbal le conducteur de la voiture qu'ils poursuivaient.

dimanche 17 octobre 2010

L'OMERTA EXISTE-T-ELLE DANS LA POLICE ? NON !

Cette semaine, sort le livre in situ d’une gardienne de la paix, Sihem Souid... (Gardienne de la paix ??? Non ex-ads et actuelle Adjointe administrative). . Elle y dénonce la corruption, les abus de pouvoir, la destruction de preuves, la falsification de documents, le trafic de statistiques qui sévissent au sein de la police mais aussi le racisme, le sexisme et l’homophobie qui y règnent.

Ses propos, issus du vécu dans un service où elle a officié et basés sur des témoignages et des documents officiels, veulent, au risque de lui faire perdre son travail, alerter "le sommet de la pyramide et les hiérarchies intermédiaires qui préfèrent couvrir les abus plutôt que les sanctionner".

Elle y accuse également le recours systématique à des adjoints de sécurité, soit des policiers en formation, pour gonfler les effectifs, mais aussi le placement chronique en garde à vue, la retouche ou la création de toute pièce de documents menant à l’expulsion ou l’accusation... le tout pour calquer à une politique du chiffre qui sévit au sein de la force publique, et ce, au détriment de la sécurité de la population.

mardi 17 août 2010

SOS MA FRANCE

Le 16 août 2010, ALLIANCE Police Nationale a reçu le soutien d'un artiste, bien que méconnu du grand public, le contenu de la chanson qu'il nous a transmis nous paraît adapté à la réalité de notre quotidien. Il ne nous appartient pas d'en commenter le contenu. A vous de juger.